« Les glands qui tombent sur la tête » – Promeneur

par Alexei Potapushin, Cyril Forestier | 4/10/2020 | , , , , , | Studio Fauvel


Nous avons attiré la curiosité de deux marcheurs pendant que nous étions en train d’étudier le lieu. Dans la conversation, cette phrase qui est dans le titre été dis par un des marcheurs qui se promènent souvent par notre site. Cette expression reflètent notre endroit, nous sommes entouré de chênes, qui est un des éléments principaux du site.

Emplacement étudié – Volume 1m2

Notre emplacement est une élévation formé par l’activité humaine. Nous faisons face a un passage qui est pensé et créé par l’homme, et qui par son usage, avec les années, s’est creusé plus profondément.

Plan de notre situation avec le relief

Il y a une dualité entre une élévation formé par le Rhône et celle que nous étudions, qui est causé par la dégradation humaine. Le Rhône, lui-même forme des parois en gagnant du territoire sur les bords du fleuve. C’est un processus qui est à la fois naturel, mais aussi accéléré par la navigation maritime. Nous voyons des similarités avec notre pente. Le point commun entre le Rhône et le chemin avec une élévation sur les bords est que peu importe la forme de l’activité humaine, le chemin prend de plus en plus d’espace.

figure 1
Figure 2

Cette photo (figure 2) en est une pente qui formellement identique à le notre (sur cette pente nous remarquons les racines et sur le notre, les racines sont recouvertes de terres), elle se situe à quelques mètres de notre pièce du site étudiés.

L’image de gauche (figure 1) est la pente en question et celle de droite (figure1) une autre « pente » trouvé plus loin sur le même chemin. Nous pouvons imaginer que les racines de notre emplacement est construit de la même que celle qui est capturé sur l’image de droite. Sauf que celui de gauche (figure 1) est « intact », les racines continuant à maintenir cette masse de terre.

Angle de vue sur le côté

Cet emplacement est situé sous une clairière. Nous avons les rayons du soleil qui frappent sur le fossé, ce qui a permis le développement de la mousse. Avec l’irrigation et le soleil, cette élévation est durcie par de nombreux éléments intervenant dans cycle de la nature. Cet ensemble d’éléments permet à cette élévation d’empêcher de s’écrouler comme d’autre façade aux alentours .

Le solarigraphe est placé en fonction de l’alignement de notre façade et pointe le pont et la direction du soleil.

Nous avons décidé de mesurer cette élévation en divisant le volume en plusieurs coupes et nous sommes arrivée à ces informations :

Les mesures prisent afin de reconstituer la pente. Nous avons construit un graphique avec un axe vertical pour la hauteur et un axe horizontale pour la position sur l’horizontale.

La mesure doit quitter le sol que je foule pour une réalité plus haute que moi et dont je ne peux faire l’expérience sensible. Cette réalité qui échappe à mes sens, la mesure me la rend connaissable.

Alice – Codex « Measures »

En regardant une fois le lieu, il serait difficile de mémoriser photographiquement le lieu. Surtout que nous planifions d’installer un objet pour cela, nous devons être sûr de chaque détails de l’objet (taille, position, accrochage, couleur,… ).Pour cela le Pôle Measures a une importance presque fondamentale.

Axonométrie du lieu
Ensembles des coupes superposées
Forme de notre moule
Notre moule une fois le plâtre coulé
Le résultat de produit entre le moule et le plâtre

Série de photos sur le moule de notre partie de parcelle.

C’est avec une citation de Emmanuel Kant que nous voulons conclure notre rapport sur ce qu’il a été étudié :

La nature agit, l’homme fait.

Emmanuel Kant