

Dans le plan en haut, j’ai représenté les lignes de topographie du terrain, il me semble nécéssaire de les représenter car le chemin bati par lequel les gens sont sensé passer est en pente alors que la ligne du désir est relativement à plat ce qui pourrait expliquer pourquoi elle a été formé.
Avec les lignes rouge et bleu, j’ai essayé de montrer la ligne du désir (rouge) par rapport au chemin bati (bleu) et on remarque que la ligne du désir est bien plus courte. C’est une deuxième raison qui explique la création de ce passage. On remarque aussi que la ligne du désir est relavement étroite et que que le sol est incertain. On voit la quantité de lierre présente dans le lieu et les 2 chênes qui laisse tomber leurs feuilles en automne.

Les dessins concernant l’intervention montrent comment les dalles en terre pisé auraient un impact et évolueraient sur la ligne de désir. Cette dalle de 80×80 cm élargirait le chemin par 2. Grace à la capillarité, le bois pourrirait et la terre se mélangerait à celle du terrain. Avec le temps, la dalle disparaitrait et ferait totalement partie du terrain.

Seul des feuilles mortes et des branches sont présentes sur le chemin, tandis que sur les côté du chemin, le sol est envahie par le lière.
On voit aussi que la terre s’est creusée sur la ligne de passage.


On voit que le musée se trouve sur un terrain assez à plat mais que entre ce terrain et la route, le terrain descent et c’est là que se trouve la ligne du désir.